Slow et éthique

Si ralentir me préoccupe, c’est davantage en termes de consommation et de respect de la planète. Recycler est peut-être devenu quasi une seconde nature chez moi. Diminuer l’émission de CO2, j'y contribue en troquant ma voiture contre une bicyclette. Penser « slow » équivaut pour moi à penser « développement durable » et je mets sans doute un point d’honneur à consommer local.

Dans le tourbillon d’un contexte économique, où parfois mon cabas comme ma maison sont pleins à ras bord, je me pose la question de l’essentiel. Qui plus est en prenant compte de la dimension écologique. Pour sortir d’un mode de vie effréné, et toxique pour la planète, je mise sur les vertus d’une consommation éthique, et du recyclage. À la rentabilité, je préfère l’inventivité.

Pour aller plus loin : rejoindre une tribu « slow » aux accents de développement durable est devenu plus facile. Green militantes et créatives, elles insufflent dans l’air du temps, moult façons de renouer avec un rythme plus naturel, en écho avec la mère terre.